I Love Belgium... and you?

Wir heiβen Super-Fantastisch !

28 mai 2007

"My plug-in baby", part. 2.

L'actualité du week-end, ce n'est pas forcément le Grand prix de Monaco, la Palme d'or de l'inconnu du festival de Cannes, ou les début soporiphiques de Nustinénin de Rolland-Garros. A vrai dire, de ces trois évènements, je n'avais l'habitude d'en regarder qu'un seul, et si je ne l'ai pas fait cette année, c'est bien pour une raison majeure.

Et cette raison, c'est le concert de Muse à la Rockhal samedi dernier!



Alors comme d'hab', je vous livre mes meilleures photos faites avec un téléphone (le jour où j'irai voir le groupe Téléphone, je parlerai dans les petites trous de mon appareil photo, hahaha... Ouais ben visuellement, ça ne peut pas être pire, hein!). Bon show, bien que pas mal différent de ce à quoi nous avions eu droit à Anvers en décembre dernier, bonne salle plutôt pratique, y compris pour les névrosés des espaces clos comme moi, et belle performance d'un groupe dont nous avons la preuve qu'ils ne font pas de playback!

(Ca, quand on casse son micro au milieu d'un morceau, ça ne pardonne pas...)

Et comme le concert seul ne suffit pas à brosser le Grand prix, le lendemain fut consacré à un peu de tourisme dans la région luxembourgeoise. Alors pour ceux qui seraient tentés et qui ne le sauraient pas encore: Luxembourg un dimanche, y'a que dalle! Nib', rien, peau d'zob. Un Quick à côté d'un Mac Do', c'est ben la seule chose qui m'a un peu enthousiasmé. C'est propre (quand on vient de Bruxelles, on remarque ça immédiatement!), mais c'est mort. Dommage, parce que j'ai le sentiment qu'il faudra revenir pour leur Sushi Place!

Même Bastogne, à côté, ça avait l'air d'être "ze plaïsse tou bi", avec son char tout neuf qui résistait même aux assauts des populations locales en nette surcharge pondérale. M'enfin ça m'aura permis de découvrir des coins que je n'aurais jamais eu l'idée de venir voir...

Sur ce, à propos de bataille des Ardennes, je pars quelques jours bosser en Allemagne, au pays des authentiques 'Super-Fantastisch', donc soyez sage en mon absence, je reviendrai commenter les thèmes de mes blogueurs de lecteurs préférés dès mon retour!

Post-scriptum: spéciale dédicace pour Vinch:
BuzzRace

17 mai 2007

France, twelve points. Belgique aussi.



On n'a pas pu ne pas le voir. Ou plutôt: on n'a pas pu ne pas LA voir.

Non, je ne parle pas de l'homosexualité (sujet très à la mode dans une période où les élections en tous genres sont plutôt rapprochées...), mais de la voiture du "président Swarovski" (dixit Jude Law chez Denisot ce soir même).
Voui, je dois l'avouer: cela fait bien deux fois en une semaine que Peugeot me bluffe. Mais il ne s'agit que d'un prototype, pas question de coming-out pour le moment.

Une 607 tout ce qu'il ya de plus normal si on ne regarde que l'avant ou l'arrière (un peu comme on regarderait Victoria Silvstedt), mais de profil, on se rend vite compte qu'il y a un buzz...
Toute belle bagnole, donc, pour parader et représenter ce qu'on pourrait nommer - avec une casquette à carreaux sur l'tiesse - "la limousine à la française".

Et là, la "limousine à la française", c'est comme "l'amour à la française": ça ronfle, ça pète, mais quand on regarde l'intérieur, on a un peu l'impression qu'un fan de tuning s'est amusé à dévaliser le "Jacky tuning" de Charleroi. Apparemment, y'avait promo sur les garnitures de portes cheap et les housses de siège, en bleu uniquement...
Et pour la nuit, y'a des néons bleus, blancs et rouges en-dessous?




Une autre figure de la politique qui a tout compris à la bagnole, c'est Marie-Do. Voui m'sieurs-dames, elle, elle base sa communication sur ce qu'elle a compris à sa GS hybride:


Quatre roues qui tournent dans un sens giratoire régulier, un volant rond qui tourne tantôt à gauche, tantôt à droite, selon les desideratas de l’utilisateur...

Ah ah, c'était donc ça! Moi qui croyais qu'elle n'avait choisi cette voiture que parce que son nom termine par un petit "h", comme le nom de son parti, qui, comme on peut le voir dans l'adresse de la page ici, s'appelle toujours bel et bien le PSC!

(Des fois qu'un ultime village résiste toujours à cet envahisseur païen qu'est le CDH, et que ses vieux aillent toujours chercher le PSC sur internet...)

Allez, merci pour la publicité à l'oeil, quand même!
Et n'oubliez pas: le 10 juin, votez Lexus! Hahaha...

15 mai 2007

Le jour où Peugeot m'a bluffé...

Trouvé au hasard sur le blog de Vinch, ce lien vers un site que je n'aurais pas eu l'idée d'aller visiter: le site des utilitaires Peugeot.

Le principe est très simple: un petit robot se lance le défi de découvrir ma profession en me posant quelques questions dans le plus pur style "rien à voir ou presque".

Je suis un homme de challenges, je vis dangereusement, et puisqu'il paraît qu'ensemble tout devient possible, j'ai donc cliqué.

Premier essai, sérieux, mais "j'vais l'avoir, le lion de Sochaux, il va moins faire le malin dans une minute".
Verdict:



Tcheu dis! C'est que je vais me faire moucher par la copine de R2D2 si ça continue! Allez, c'est vrai, celui-là, je l'ai fait sans y croire. Comme dirait Michel Daerden, "on va pas se quitter comme ça, on s'en remet une petite, hé?" (il est bien du genre à dire ça...).

Deuxième essai, je lis bien le style des questions, histoire de piger le truc. Je reste sincère.
Re-verdict:




Bull's eye, Maurice, you naughty little monkey!
Bon ben y'a pas à dire: soit j'étais fait pour ce métier, soit ce site web est bien fait. Peut-être même que si Peugeot mettait autant d'ardeur à dizaaaïgner des voitures que des sites webs, ça se vendrait.
Ils savent déjà ce que c'est que la Qualité. Du moins ils écrivent le mot sans faute...

A part ça, je suis content de l'enseignement de ce site: un quart de mes semblables roule en camionette, un autre quart en fourgonnette, un troisième quart en estafette, quant aux derniers, ils ont préféré le van utilitaire.

Et juste par curiosité: et vous? La boite de conserve de Peugeot est-elle vraiment au point? Dites-y moi...

Allez, youpi, mercredi c'est le festival de Cannes qui commence. Dix jours à se faire chier, en guise de préparation à tout ce qu'on va s'emmerder durant la quinzaine de Rolland-Garros qui va suivre.
Vivement que le Tour de France revienne...