Web 2.0, mon ami...

Bien, après cette première incursion dans le monde merveilleux des nouvelles technologies de ce que les gens super-instruits (et qui créeront un jour un blog genre 'Ich bin Super-Instruistisch') appellent le "web deux point zéro", et grâce à laquelle votre 'Super-Fantastisch', le blog qui vous aime autant que vous l'aimez, a l'air d'une mob' de banlieue, avec son autocollant générateur de slogans aléatoires et son tube des Who qui passe en boucle, après cette première incursion, disais-je, mais ma phrase est si longue que je me dois de le répéter, après cette première incursion, votre 'Super-Fantastisch' s'est tourné vers son "miroir, mon beau miroir", et il lui a demandé ce qu'il pensait de lui.
Ouais, OK, il aurait pu aussi lui demander un podcast de la finale (non: DES finaleS) de Kim Gevaert (tiens, j'ai une idée, là...), ou mon week-end de pluie passé à jongler entre les coffrets Kill Bill et Lost (je sais, je fais partie des derniers à découvrir la fin de la saison 1. Mais au moins, je ne dois pas attendre le coffret de la saison 2: il sort aujourd'hui!),mais non, en bon égoïste que je suis (et qui aime partager cela sur mon blog), j'ai fait... des tests sur Internet.
Allez, rien de bien sorcier, en fait: je n'ai fait que cliquer sur des bannières aux couleurs chatoyantes, un peu comme je choisis une boîte de céréales le samedi aux courses.
Et après maintes questions, la réponse est tombée: OUI, je dois vous l'avouer, j'ai un Q.I. au dessus de la moyenne. Oui, j'ai une personnalité sexuelle que de nombreuses personnes peuvent m'envier. Je suis un être exquis, dont les traits sont excellemment bien balancés entre la clairvoyance et le plaisir.
Et pour la peine, je vous offre les résultats sous forme d'un magnifique slideshow! (réalisé sans trucage, la preuve de ce que vous voyez ici peut vous être envoyée, écrivez au journal en joignant une enveloppe timbrée à vos noms et adresse).

Bref, je fais confiance à mon nouvel ami, le web 2.0: un être comme moi, c'est rare.

Être 'Super-Fantastisch', c'est aussi ça: être surpris d'être rattrapé par le triomphe, mais ne pas l'avoir modeste!

Pendant ce temps-là, à Werchter, il doit pleuvoir, non?